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Mon parcours
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Bonjour !

Je suis Aurèle Fiévé

Je suis « hypnologue », c’est-à-dire que j’étudie le fonctionnement de l’hypnose, j’en maîtrise les outils techniques et j’utilise mes connaissances dans le cadre de l’accompagnement vers le mieux être, l’exploration de soi et le développement des compétences. Pour cela, je m’appuie sur un certain nombre de connaissances rigoureuses autour des fonctionnements et dysfonctionnements biologiques, comportementaux et psychologiques.

 

J’ai d’abord choisi de m’orienter après bac vers études en sociologie puis en cinéma (Master Théorie, Esthétique et Mémoire du cinéma à l’Université Paris 8-Vincennes-Saint Denis), où j’ai pu développer mon affection pour le récit et l’imaginaire.

 

J’ai commencé à m’intéresser à l’hypnose à un moment où je me sentais débordé par des symptômes et comportements sur lesquels je n’avais plus prise. La dimension très expérientielle de l’hypnose m’a convaincue de sa capacité toute particulière à assouplir les représentations et comportements pour avancer avec assurance vers le changement. Par ailleurs, face à la mise à mal des conditions d’existences (environnement, qualité de vie, conditions de travail) et au sentiment d’impuissance que cela peut générer, j’ai décidé de faire de l’hypnose une alliée, pour moi comme pour d’autres…

Dans ma démarche professionnelle, j’accorde un intérêt tout particulier à la démarche scientifique, qui cherche d’une part à comprendre les mécanismes à l’origine du fonctionnement d’une discipline/technique, et qui permet d’autre part de tester leur efficacité. Je consulte régulièrement du contenu au sujet des neurosciences et plus largement sur les mécanismes biologiques, cognitifs et sociaux qui sous-tendent les dysfonctionnements physiologiques et psychologiques. Je m’informe à propos des avancées en hypnose mais également dans d’autres disciplines telles que la thérapie cognitivo-comportementale et émotionnelle (TCCE). La théorie polyvagale et la thérapie sensorimotrice, approches somatiques influencées entre autres par les recherches en traumatologie et en neurosciences, tiennent une place importante dans ma démarche. Je projette en outre de passer dans les années à venir une licence de psychologie, qui me permettra d’affermir davantage cette démarche qui m’est chère.

Mes diplômes et attestations :

​– Technicien·ne en Hypnose Ericksonienne à l’ARCHE (Académie pour la Recherche et la Connaissance en Hypnose Ericksonienne), 2021.

Praticien·ne en Hypnose Ericksonienne à l’ARCHE, 2021.

Formation totale de 210 heures que je refais une 2ème fois en « retour » grâce à la proposition très intéressante de l’école.

Hypnose Clinique à Symbiofi (56 heures), 2023.

6 clés sur les Addictions et pour le Pouvoir d’Agir avec Oppelia Conseil et Formation (Mooc estimé à 12 heures), 2023.

Stress et Émotions – Repérage et Gestion par les outils de la Thérapie Cognitivo-Comportementale et Émotionnelle (TCCE) à Symbiofi (21 heures), 2023.

La Pleine Conscience Sensible aux Traumatismes (PCST – Trauma Sensitive Mindfulness) (12 heures), 2024. Formateur : David Treleaven, enseignant chercheur à l’Université de Brown formé en psychologie clinique et thérapeute dont l’approche se concentre sur l’intersection du traumatisme, de la pleine conscience et de la justice sociale.

Formation en cours :

– Neurosciences pour l’accompagnement, mars à décembre 2024, à l’ARCHE (90 heures).

Mes spécialisations

Mes spécialisations :

J’ai choisi de me spécialiser dans l’accompagnement du stress, des addictions et des traumatismes. De manière complémentaire à l’accompagnement individuel que je propose déjà en hypnose, ma formation avec l’association Oppelia me permet de mettre en place des actions de prévention pour les usagers et usagères de substances psychoactives (tabac, alcool, caféine, cannabis, antidépresseurs, tranquillisants…), mais également pour les personnes aux prises avec des addictions comportementales (abus d’écran, achats compulsifs, certaines pratiques sportives intenses, investissement massif dans le travail, certains types de comportements alimentaires ou sexuels, etc).

 

J’anime ainsi des ateliers pédagogiques de groupe sur les mécanismes de l’addiction et le pouvoir d’agir (il ne s’agit pas d’y parler d’hypnose). Ces espaces de groupe se veulent respectueux, déculpabilisants et empouvoirants* (terme repris de l’anglais «empowerment» qui recouvre la notion de «s’impliquer» et de «pouvoir»).

Pourquoi le choix du statut d’hypnologue, à la place de celui d’hypnothérapeute ? Je m’écarte de l’appellation « hypnothérapeute » car elle est susceptible de créer une confusion avec le titre « psychothérapeute ». Selon le décret n°2010-534 du 20 mai 2010, ce titre est en effet réservé aux personnes titulaires d’un doctorat en médecine (donnant le droit d’exercer la médecine) ou d’un master de psychologie, et qui ont validé une formation en psychopathologie clinique de 400 heures minimum avec un stage de 5 mois minimum en institution. À noter que les psychanalystes, dont l’appellation ne fait pas partie des titres protégés (comme par exemple « médecin » ou « psychologue »), comptent néanmoins parmi les professions pouvant bénéficier de dispenses partielles. Ainsi ils doivent effectuer 200 heures en psychopathologie clinique et deux mois de stage. C’est 50 heures de formation supplémentaire que pour un·e psychologue clinicien·ne, qui a déjà fait cinq années d’études universitaires de psychologie (niveau Master), avec de nombreux stages compris. Par ailleurs, notons que les établissements habilités à dispenser la formation en psychopathologie clinique ne doivent pas forcément être des universités ni même des établissements publics. Si j’ai étudié les bases de la psychopathologie afin de sécuriser le cadre de mes accompagnements, je n’ai donc pas les références de formation d’un·e « psychothérapeute ». D’autre part, la référence à la « thérapie » me semble également connoter trop fortement l’accompagnement par hypnose au traitement de la souffrance psychologique et comportementale (« thérapie » vient du grec ancien θεραπεία, therapeía, « cure », dérivé de θεραπεύω, therapéuô, « servir, prendre soin de, soigner, traiter »). Le terme « hypnologue » laisse ainsi plus de place au potentiel d’exploration que permet l’hypnose, au-delà de toutes prémices pathologiques. Un accompagnement par hypnose permet ainsi d’éveiller sa créativité, d’améliorer ses compétences et performances, de mieux cerner ses envies, ou encore d’élargir sa zone de confort…

Service d’accompagnement par hypnose pour les secteurs de Cahors, Lamagdelaine, Pradines, Espère, Mercuès, Luzech, Prayssac, Sauzet, Trespoux-Rassiels, Labastide-Marnhac, Lhopitalet, Le Montat, Cieurac, Lalbenque, Fontanes, Montdoumerc, Aujols, Flaujac-Poujols, Limogne-en-Quercy, Arcambal, Saint-Géry, Bouzies, Saint-Cirq-Lapopie, Cajarc, Figeac, Cabrerets, Sauliac-sur-Célé, Marcilhac-sur-Célé, Bellefont-La Rauze, Francoulès, Montfaucon, Saint-Pierre-Lafeuille, Uzech…

Entreprise Individuelle

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